Lundi je termine mon texto par « voili voilou ». Elle se fout de ma gueule.
Mardi, J’ai les boules, j’ai les glandes, j’ai les crottes de nez qui pendent.
Mercredi, je pète un coup ça ira mieux.
En effet jeudi pas rancunière « Alors, ça boum ?… Ah, on ne dit pas ça ?» Alors boum.
Vendredi, envie de démodé, et de poisson à la bordelaise mais je m’éloigne. Il faut, il faut pas. Mais va te faire cuire le cul.
Je ne vais pas me mettre la rate au court-bouillon pour ses moqueries, oh !
On est tous le ringard de quelqu’un, ok ? Je lui balance mon idée à la mord-moi-le noeud.
Samedi pas de réponse. Crotte de bique. Ça craint du boudin.
Mollo l’asticot, c’est le week end. Samedi après midi, emballé c’est pesé.
Violet désuet et corail suranné pour quelques mots périmés.
Elle est convaincue. Dans le cul lulu. Ça sent la collab et la naphtaline.
Dimanche (et un été) : La collection ringarde est née.
Retrouve toutes nos ringardises sur la boutique de ma Charlie et June d’amour à la plage ah-ouh, cha cha cha