Dada Masilo est une danseuse chorégraphe sud africaine. Sa spécialité c’est de décaper les grands classiques. Dans Swan Lake elle nous parle d’homophobie, de sida, de mariage forcé, avec tant de gaieté, de force et de liberté. J’y ai vu une version toute en oxymore.
C’est avec un ballet dans le cul que je tente de balayer ma frousse de te raconter une oeuvre si audacieuse. J’ai peur d’enlaidir tant de beauté, de compliquer tant de simplicité, de ne rien capter à tant de génie. Je crains d’oser les gars. Rien à foutre que ça m’importe.
Punaise, on a encore raté quelque chose !
Ravie que tu es osé nous raconté ça, ça envoie, c’est beau !
D’ailleurs t’es carrément courageuse de poser mots et traits sur des sentiments, des réactions, des tourbillons de danse…
Et j’aimerai bien savoir ce que pensera Dada de ton compte-rendu poético-rose-et-bleu-et-marron
J’adore ? C’est une ARTISTE ! J’ai vu un bout de Swan Lake sur la place Bellecour de Lyon ! J’avais adoré entendre les réactions des gens ! Elle a son propre style dépoussiérant ! Je l’adore ? Et je l’ai revu dans Carmen ??? Bref, une artiste que j’admire et que tu as merveilleusement bien sublimé ??
Magnifique !!! Ce ballet d’oxymores m’a occis de sa si sombre beauté… Que de mots durs et de morts sures dans cette si lumineuse Afrique du Sud…
Heureusement que tu oses ! Tu respires l’inspiration !! Merci :)